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D'où venait le demi-million de chemintos qui est né de la révolution industrielle en moins de cinquante ans ? 

Pourquoi et comment choisissait-on au début du siècle dernier de devenir "employé de la Compagnie" et de le rester ?

Quelles conséquences ce choix avait-il sur le mode de vie, l'habitat, mais aussi sur le choix d'un conjoint et la taille des familles ?

Et, surtout, était-on cheminot de père en fils ? Ces cheminots du début du XXe siècle, quand leur père n'avait pas exercé l'un des mille métiers du rail, poussaient-ils leur fils à en apprendre un ?

 

Ces questions sont posées, et trouvent leur réponse, parfois surprenante, pour une dizaine de localités grandes ou petites, réputées "cheminotes" ou non, dispersées sur l'ensemble du territoire.

Les études qui ont rendu possible cette comparaison ont été entreprises, soit par des généalogistes qui ont rejoint la commission "Histoire sociale des transports par fer" de l'AHICF, soit dans le cadre de maîtrises ou de diplômes d'études approfondies d'histoire. Les auteurs des monographies publiées ici s'étaient accordésn sur une suggestion de Christian Chevandier, à privilégier le dépuillement des registres de l'état civil, venant compléter l'analyse des résultats du recensement de 1911. 

Elles sont encdrées, d'une part, par l'analyse de ces sources et par une comparaison avec une étude menée à partir de dossiers de pension et de carrière, d'autre part par les commentaires que leur adressent plusieurs experts - démographe, sociologues, historiens. 

RHCF N°22 : Origines sociales et géographiques des cheminots français

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